Les terreurs des Grands
Les terreurs des Grands
Il faut dire qu'évoquer Bilombe et Nomade, c'est rappeler ces équipes qui ont fait trembler les trois grands du stade tata raphaèl, à savoir Daring Imana, V Club Vita et Dragons. Si les bilombe se sont offert plusieurs coupes de la Lifkin, Les Nomades avaient la réputation de "bétonner" leur défense et de ne prendre que très peu de buts. Leurs défenseurs, réputés très brutaux, ont raccourcis
bon nombre de carrière. Et livrer une partie contre nomade, était redouté par les meilleurs attaquants du championnat kinois.
De cette époque, moi je garde le souvenir des soirées interminables, où dans notre chambre à l'étage, mon frère - Laurentos le jazz des jazz - me narrait dans le détail la partie à laquelle il venait d'assister. Il est vrai qu'à 7 ou 8 ans, je ne pouvais pas faire le trajet Kintambo - renkin, mais le lendemain matin, j'en savais autant que celui qui y était - par le système de "papa simba ngai". Pour le reste, je n'avais qu'à donner l'argent de mon mikaté pour acheter les journaux - l'Etoile ou les Sports - pour y découper les plus belles photos qui allaient garnir mes pagesde "phases". Grâce à ces photos, je savais mettre un visage sur les noms des joueurs.
Mais je n'étais pas si sevré que çà du foot. J'étais tous les samedis ou dimanches, aux premières loges au stade vélodrome de Kintambo pour voir évoluer les Ofenta, Ngunza et autres Dikrut, lesd
bottés de "Mensah wawa", sinon il y avait la guerre des jeunes daring (vert-blanc) contre les Berschott (vert et noirs) qui nous tenait en haleine chez nous. ici, pas besoin de "phases". je
connaissais chaque joueur sur les bouts des doigts.
Joseph Pululu
Il faut dire qu'évoquer Bilombe et Nomade, c'est rappeler ces équipes qui ont fait trembler les trois grands du stade tata raphaèl, à savoir Daring Imana, V Club Vita et Dragons. Si les bilombe se sont offert plusieurs coupes de la Lifkin, Les Nomades avaient la réputation de "bétonner" leur défense et de ne prendre que très peu de buts. Leurs défenseurs, réputés très brutaux, ont raccourcis
bon nombre de carrière. Et livrer une partie contre nomade, était redouté par les meilleurs attaquants du championnat kinois.
De cette époque, moi je garde le souvenir des soirées interminables, où dans notre chambre à l'étage, mon frère - Laurentos le jazz des jazz - me narrait dans le détail la partie à laquelle il venait d'assister. Il est vrai qu'à 7 ou 8 ans, je ne pouvais pas faire le trajet Kintambo - renkin, mais le lendemain matin, j'en savais autant que celui qui y était - par le système de "papa simba ngai". Pour le reste, je n'avais qu'à donner l'argent de mon mikaté pour acheter les journaux - l'Etoile ou les Sports - pour y découper les plus belles photos qui allaient garnir mes pagesde "phases". Grâce à ces photos, je savais mettre un visage sur les noms des joueurs.
Mais je n'étais pas si sevré que çà du foot. J'étais tous les samedis ou dimanches, aux premières loges au stade vélodrome de Kintambo pour voir évoluer les Ofenta, Ngunza et autres Dikrut, lesd
bottés de "Mensah wawa", sinon il y avait la guerre des jeunes daring (vert-blanc) contre les Berschott (vert et noirs) qui nous tenait en haleine chez nous. ici, pas besoin de "phases". je
connaissais chaque joueur sur les bouts des doigts.
Joseph Pululu