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Publié par Clément Ossinondé

CYRILLE KIPULU N'ZAFU:UN HEROS DANS L'OMBRE

 

TECHNOLOGIE    (RDC-Congo) - USA                                                                                                                  

Voici un homme peu connu des congolais, un héros dans l’ombre !

 

Voici l’Homme par qui la grâce de capter la télévision Nationale congolaise en provinces est passée.

 

C.KIPULU N’ZAFU est l’initiateur du projet de télédiffusion en R.D.-Congo. A ce titre, il mérite d’être appelé le Père de RENATELSAT. La loi qui a fait payer la Redevance Radio-TV par le truchement de la facture de la Régideso dans les années 90, l’initiative venait de cet homme qui avait adressé au Président Mobutu un memo pour se faire. Pour la petite histoire, lisez ce qui suit…

 

L’histoire retiendra que le Projet Renatelsat est un projet gouvernemental du ministère de l‘Information et Presse réalisé en 1978/79. Mais on doit retenir que l’idée d’utiliser le satellite pour cette fin, est son initiative en 1973.

 

Les historiens congolais sont invités à connaître cet homme et à l’approcher car il fait la fierté de l’Elite congolaise dans le domaine de la recherche et développement du pays.

Quant à nous, nous avons eu cette grâce de le croiser et avions profité de lui demander de nous raconter son aventure de la technique;  voici comment cela est arrivé comme il l’explique lui-même.

 

Tout d’abord, il commence par une anecdote ou citation suivante:

 

«Il ne faut pas que les hommes de talent, qui ont consacré leur temps au service de la communauté, puissent être privés d’un légitime mérite et de la récompense de leur créativité et de leur travail. »

Lord Mansfield, juge britannique (1705 – 1793)

 

Mon aventure se situe le long de ma carrière technique et cela en trois événements importants.

 

Pour votre information, je suis un ancien cadre technicien qui a travaillé régulièrement au Ministère de l’Information et Presse sous le numéro matricule 127548 (Service de Radiodiffusion-Télévision «RTNC»), et révoqué abusivement par ce Ministère en 1975 comme vous le remarquerez dans notre entretien, ceci pour vous éclaircir de ce dossier et avoir un renseignement qui vous édifiera.

 

Le but de mettre ces informations à la disposition du public est d’informer ce public bénéficière de ces services, et aussi de déposer la déclaration au sujet de ces oeuvres dont le public congolais bénéficie par l’entremise de l’établissement public RTNC.

 

En effet, l’ordonnance loi n°86-033 du 5 avril 1986 portant protection des droits d’auteurs et droits des voisins en Rdc dans son article 1 stipule : « L’auteur d’une oeuvre de l’esprit jouit sur cette oeuvre, du seul fait de sa création, d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous…»

De ce fait, je viens réclamer mes droits d’auteur pour les initiatives de trois projets dont deux qui ont abouti et, l’autre attend d’être réaliser un jour, question de volonté politique et patriotisme. Oeuvres dont voici :

 

1. la création d’un Etablissement public dénommé RENATELSAT (Réseau National de Télédiffusion par Satellite) qui fonctionne depuis 1978 dont l’idée du projet par moi produite, date de 1973.

 

2. La Redevance Radio-Tv qui a été pratiquée entre les années 1989 et 1992, est fruit de mes recherches dont j’ai recommandé à l’ancien président de la République de mettre en place par une Loi pour aider la RTNC d’avoir ses moyens d’action qui lui échappaient. L’ordonnance dont question a été révisée (transformée) en une loi votée par notre Assemblée nationale depuis 2011 (Loi N° 11/004 du 25 juin 2011 portant redevance sur les appareils d’émissions audiovisuelles) ou la Redevance Radio-Tv.

 

3. Un projet visant à donner à nos héros nationaux Patrice E. Lumumba et ses deux compagnons une tombe à la dimension de leur sacrifice pour le combat de libération du Congo. Ce projet a été légalisé à l’Office notarial avant son expédition au président de la République en 2013

Ces trois oeuvres sont protégées par les dispositions pertinentes de l’article 4 de l’Ordonnance-loi n°86-033 du 05 avril 1986 portant protection des droits d’auteurs et des droits voisins en vigueur en République Démocratique du Congo.

Aux termes de l’Art. 6.- de ladite ordonnance-loi, on entend par :

c) oeuvre individuelle : l’oeuvre dont l’auteur est une seule personne ;

 

Il est à noter que : «le droit d’auteur, même portant sur une oeuvre produite dans le cadre d’un contrat de louage de service ou d’ouvrage, appartient à titre originaire à l’auteur.. »

Lors du déroulement des travaux de notre Forum national CNS (Conférence Nationale Souveraine), j’avais introduit une requête mais étant donné que beaucoup de décisions de ce forum sont malheureusement restées lettre morte de la part de décideurs ; j’ai en 2003 repris le dossier en m’adressant à l’autorité de tutelle qu’est la Fonction publique qui a la responsabilité de la gestion du personnel de carrière de l’Etat qui devait statuer là-dessus et me remettre dans mes droits.

Mais malgré les bonnes intensions, ce service n’est pas parvenu à trouver la solution par moi attendue, solution qui consistait à me rétablir dans mes droits.

Mais les responsables de la fonction publique en l’occurrence le Secrétaire Général (actif) n’a pas été capable de prendre une décision au nom de l’Etat conformément aux prérogatives statutaires lui conférées par l’ordonnance N° 80/215 du 28 Août 1980 créant la Fonction Publique, confirmée par l’Ordonnance N° 07/018 du 16 mai 2007

Cette décision m’aurait réhabilité dans mes fonctions dont lui-même a reconnu le caractère abusif et illégal de cette révocation, conformément au statut gérant la fonction publique d’une part, et aurait permis de statuer sur mes deux oeuvres de propriété intellectuelle dont ce ministère bénéficie d’autre part.

A ma grande surprise, le fonctionnaire de la 5ème Direction, en la personne de M. Mutombo, Service Contentieux qui avait reçu mission par son  Directeur pour la rédaction des conclusions qui devaient aboutir à une solution de clôture pour me réhabiliter dans mes fonctions, et qui avait bien terminé son travail, les a déposées entre les mains de la secrétaire du SG pour signature par ce dernier. Curieusement, le dossier déposé entre les mains propres de la secrétaire, ce dossier a disparu entre le SG et sa secrétaire. Dans l’entre-temps, le fonctionnaire est décédé une année après je ne sais dans quelles circonstances. C’est qui est plus curieux, c’est que comme pour 2004, le fonctionnaire du nom de César à la direction des Actifs qui avait préparé les premières conclusions et soumis à son directeur des actifs, est décédé quelques jours après avoir déposé le dossier entre les mains de son directeur. Il connut une crise dans les toilettes, conduit rapidement à Ngaliema il mourut. Simple coïncidence, j’ignore. Ainsi mon dossier administratif de la Fonction Publique est restés jusqu’à ce jour sans solution aucune.

Voici comment est née la première oeuvre du projet "Renatelsat" :

 

1. Le projet Renatelsat date de 1973 précisément (le 12 juillet pour être précis), dont la date de la réalisation aura pris du temps pour ce faire car, il fallait réunir les fonds nécessaires pour la commande du matériels techniques, la construction sur le site indiqué des bâtiments devant recevoir les dits équipements à Kinshasa et aussi dans les sites de chefs-lieux de Provinces, la réception et installations des dits équipements, le test du matériel en émissions expérimentales dès 1978 et l’inauguration qui interviendra en 1979.

 

Pour la petite histoire, il sied de vous signaler que c’est en 1973, le Président de la République déçu par le projet Grand Tam-Tam, l’émetteur 600 KW Ondes moyennes dont on avait tant vanté, émetteur fourni et installé par la firme française Thomson CSF, qui n’a pas donné le résultat escompté. Tout comme le Faisceau hertzien Kinshasa-Lubumbashi, installé par la même firme et qui n’avait jamais fonctionné de bout en bout pour une distance de prêt de 2000 Km des stations de relais. Le président a voulu se débarrasser des Français et leur technique car les ingénieurs de la firme Allemande Siemens lui ont prouvé le contraire dans leur manière de travail.

D’autre part, la mise en route d’un nouvel émetteur puissant au Gabon, (Afrique N° 1) dont les émissions parvenaient au Congo puisque sur ondes courtes, l’a fait fâché d’avantage.

C’est ainsi qu’il demandera au Ministre de l’époque d’imaginer un système pour faire acheminer les émissions de la télévision en régions. Le ministre confia cette question aux techniciens français qui étaient des conseillers au sein de la RTNC par un service de coopération française dénommée OCORA (Office de Coopération Radiophonique). Ors ces conseillers techniques collaboraient en coulisse avec la société Thomson dont ils constituaient les agents technico-commerciaux devant par tout le moyen chercher des nouveaux projets pour la vente de leurs équipements et ganger ainsi leur commission.

Retenez pour l’histoire, que le départ du Ministre Jean Jacques Kande du ministère de l’Information a été provoqué par l’échec de cet émetteur 600 KW et fut remplacé par son propre chef du cabinet Sakombi Inongo Dominique.

Quand le Directeur technique de la Radio nationale et son adjoint ont compris les jeux de Français, pour sauver la RTNC, ils ont conseillé en coulisse la présidence de la République à opter désormais pour les Allemands. Non contents, les Français en complicité avec le nouveau ministre ont fait démettre les deux directeurs  de leurs fonctions qui n’ont eu aucune défense, il s’agit de Nikuna Valère et Musema Anderson.

A l’époque, je venais de rentré fraichement d’Allemagne ou j’ai été acquérir une formation sur les équipements de transmissions car les anciens techniciens appartenait au ministère de PTT qui géraient tous les équipements d’émission depuis la colonisation. Mais depuis 1968, comme les services de l’établissement public des postes et télécommunications ont été convertis en une entreprise publique OCPT, la RTNC a voulut avoir son autonomie technique en gérant par ses propres techniciens les équipements de transmission (les émetteurs) de la Radio nationale. Et j’étais affecté à la direction technique de la Radio nationale, j’étais un des collaborateurs de ces deux techniciens Français Bauchant et Duvet. Un jour, M. Duvet m’a demandé si je pouvais avoir une idée pour acheminer la télévision (émissions) en provinces, car selon lui, il voulait qu’on puisse monter à bord d’un aéronef DC3 un émetteur de télévision qui arroserait les émissions à partir de l’espace à une distance qui restait à calculer.

C’est ainsi que je vais un jour-après, lui suggérer l’idée d’utiliser par l’entremise de COMSAT un système de télédiffusion par satellite une idée que j’ai eu en visitant le centre spatial Allemand de Raisting près de Munich. Je lui ai fait un petit croquis et lui ai remis, tout en lui expliquant qu’il y  avait moyen de demander aux Américains de lancer pour nous un satellite, ou, utiliser le même satellite sur lequel est affecté le transpondeur pour les PTT et qui travaille sur une orbite géostationnaire, on pouvait l’appliquer pour la TV et Radio FM. On réserverait des canaux pour la téléphonie et télex pour les télécoms en provinces. Il est parti avec et une semaine après, il est revenu me dire qu’il avait discuté sur mon idée avec les responsables de Thomson, et qu’ils sont prêt à le réaliser. Je lui dis que le président de la République ne serait pas d’accord avec Thomson vu les deux premiers échecs. Je lui demande s’il peut attendre le retour du Prof. Dr Bauer, Directeur du projet Siemens qui avait voyagé pour Munich, avec lui on pouvait discuter de la chose, il me dira qu’il va voir ce qu’il faut faire. Entre-temps, il a remis les conclusions de l’idée au Ministre qui est allé voir le président de la République.

Compte tenu des remarques que j’avais formulées en son temps au sujet du 600 KW, M. Duvet et les deux Ministres des PTT et Information ont trouvé une formule pour cacher le nom de Thomson, afin que le Président de la République ne sache pas que c’est encore cette firme qui va s’occuper de ce projet. Car, pour le président de la République, la mission de construire des centres pour télévision en régions, il l‘avait déjà  confiée à la firme Allemande Siemens qui commençait déjà à installer les deux stations de Lubumbashi et Kisangani.

C’est ainsi qu’ils vont trouver une solution de créer un service local qui s’occuperait de la gestion et la mise en route du dit projet, mais en coulisse devait tout commander et recevoir de chez Thomson CSF; donc en fait, ce bureau qui était crée n’était autre chose qu’une simple représentation de Thomson. Ce bureau s’appelait: BTL (Bureau Technique de Liaison) créé de toute pièce par Arrêté interministériel (interdépartemental) N° 04/DON/119/78 du 11 Novembre 1978. Mais la concrétisation de doter aux deux ministères cet instrument est précisée par l’Ordonnance N° 76-321, du 20 Octobre 1976 et une autre N° 78-411 du 06 Octobre 1978.

Mais en 1991, quand le bureau du président a compris ce jeu, le président de la République avait supprimé le Bureau Technique de Liaison qui avait une autonomie de gestion floue (mal vue) et a converti ce service en une entreprise étatique en l’alignant au rang des autres en lui donnant la dénomination de RENATELSAT sous l’Ordonnance N° 91-240 du 30 septembre 1991. Au départ de l’inauguration, le réseau a fonctionné avec 13 Stations terriennes régionales implantées dans chaque chef-lieu de région (provinces) et quelques villes autonomes.

Voila comment est née RENATELSAT dont je revendique les droits et le mémo présent tient lieu de déclaration.

2. La deuxième oeuvre concerne la Redevance Radio-TV qui est un système de taxe que les utilisateurs de tout appareils de divertissements et d’informations doit s’acquitter pour le bon fonctionnement dudit service de Radiodiffusion (Radio et télévision), dont une partie sera payé au droit d’auteurs des artistes et auteurs pour leurs oeuvres, il s’agit de : musiciens, acteurs de théâtre et cinéma etc..

 

Ainsi, après avoir observé la vie nationale, la manière dont nos dirigeants gèrent les entreprises mises à leur disposition pour gestion par le souverain peuple par mandat, qui ne le font pas souvent pour l’intérêt de ce peuple, j’avais compris que certains de nos dirigeants ne comprenaient pas le rôle qu’ils devraient jouer pour la bonne marche des outils du travail mis à leur disposition, partant de là, l’ignorance même de règles qui gèrent le système de radiodiffusion et les médias en général. Ainsi, j’avais décidé de m’adresser à la plus haute autorité du pays en l’occurrence le président de la République d’alors, afin qu’il puisse sauver l’édifice RTNC.

 

Pour y parvenir, j’ai effectué des voyages à travers tous les chefs-lieux de régions m’enquérir de la situation de toutes les stations de Radiodiffusion et télévision. Les conclusions de ces voyages ont été rapportées dans un document intitulé : "Pour une Réhabilitation du Réseau de Radiodiffusion au Zaïre", juillet 1989 et adressé au Président de la République ; document relatant la situation du délabrement de la RTNC, comprenant entre autre les recommandations formulées afin de sauver cet édifice. J’ai utilisé trois voies pour être sûr d’atteindre le président de la République :

 

  • J’ai rencontré à domicile son ancien conseiller diplomatique M. Edmond KUDIANGELA a qui j’ai remis le document afin de le lui faire parvenir.
  • J’ai rencontré le Prof. Léopold NDOLELA SIKIKONDE membre du Comité Central, aujourd’hui sénateur à notre Parlement.
  •  J’ai été reçu en audience par l’ancien ministre de l’Information NGONGO-KAMANDA, avec prière de remettre au président de la République.

Très sensible, le président de la République n’a pas hésité un seul instant, il a pris une Ordonnance sur base de mes recommandation et a crée la Redevance Radio-TV., par Ordonnance N° 90/185 du 12 Septembre 1990. Dans mes recommandations, et selon mon souhait, la meilleure façon d’arriver à une solution, était de confier le paiement de cette taxe par le truchement de la REGIDESO, c’est-à-dire : d’aligner cette taxe dans la facture de consommation d’eau de la REGIDESO, ce qui fut fait. Les Kinois se rappelleront qu’entre 1989 et 1992, les factures de consommation d’eau contenaient une rubrique "Redevance Radio-TV". Il y a eu un accord entre la Regideso et la RTNC sur le mécanisme de restitution des sommes dues. L’ancien PDG Tshongo se rappelle de cette convention.

 

Cette Ordonnance prise à Goma porte les références dont voici : Ordonnance N° 90/185 du 12 septembre 1989 portant Redevance Radio-TV par le truchement de la Regideso.

Mais, à cause justement de la mauvaise gestion de ces fonds dont le compte était ouvert à la BIAC, j’ai en 1992 écris aux dirigeants de la CNS pour que cette taxe soit momentanément bloquée parce que ces fonds étaient mal gérés, cela ne répondait pas à mon objectif de sauver cet instrument la RTNC. Depuis, cette taxe n’est plus payée à ma connaissance. Ne sachant plus comment bénéficier de cette ordonnance dont le moyen de perception était bloqué, ils ont contourné cette Ordonnance en la remplaçant par une loi. C’est ainsi que notre parlement a voté la Loi N° 11/004 du 25 juin 2011 portant redevance sur les appareils d’émission audiovisuelles.-

 

Profitant du nouveau régime qui était mis en place grâce à l’action de l’AFDL, dont nous avions espoir, J’avais reproduit ledit mémo, dont copie datant de1999 et adressé à qui de droit.

Mais l’idée de la création de cette loi vient du projet initial que j’avais adressé la recommandation au président de la République. Le journal Le potentiel et l’Observateur doivent avoir dans leurs archives, des articles traitant ce dossier d’il y a quelques années.

 

3. Quant à la troisième oeuvre, il s’agit également d’un projet visant à donner à nos héros nationaux P.E. Lumumba et ses deux compagnons une tombe à la dimension du prix du sacrifice qu’ils ont payé pour la défense de l’auto-détermination et l’indépendance de la patrie, et ceci conformément à nos us et coutumes.

Le sang du martyr n’est jamais versé pour rien!

Citations :

Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde...

Déclaration universelle des droits de l’homme Nations unies 1948

Mais ce qu’il y a de particulièrement néfaste à imposer silence à l’expression d’une opinion, c’est que cela revient à voler l’humanité : tant la postérité que la génération présente, les détracteurs de cette opinion davantage encore que ses détenteurs.

 

Propos recueillis par Clément Ossinondé

 

 

Nota : M.Cyrille KIPULU qui réside aux USA bientôt une année, est Président de la Fondation Mobyem Mikanza Norbert FOMINOR en siggle, il est Vice-president de la Ligue Nationale des Souverains Electeurs Congolais LINASECO en sigle, Membre de la Société civile du Peuple SOCIP, Membre du Conseil National de la Culture CNC en RDC, Membre de la Fondation allemande CDG (la Carl Duisberg Gesellschafte e.V.), Ancien Vice-président de l’UDS de Kabasele Tshimanga, chargé des Etudes et Experts.

 

Contact :

E-mail : gondu4440@yahoo.fr

              gondu4440@gmail.com

CYRILLE KIPULU N'ZAFU

CYRILLE KIPULU N'ZAFU

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M
Kipulu samba est un journaliste et Kipulu Nzafu cyrille est un technicien,ils se connaissent de même tribut sauf Famille.
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K
J'ai lu avec beaucoup d'intérêt ce témoignage édifiant et encourageant "ECCE UOMO" voici l'homme. Nous cherchons quelques fois au loin ce que nous avons à la porté des mains. Si seulement nos autorités pouvaient sillonner la diasporat, pour repérer les vrais fils de notre peuple, des vrais patriotes qui peuvent encore donner les meilleurs d'eux même, des personnes capables de tourner le produit de la raison vers les choses. En voici un Monsieur Cyrille KIPULU. Je suis sur qu'il a encore beaucoup d'idées en tête. c'est un visionnaire, sa photo le montre, Bon courage
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G
Je me demandais si M Kipulu a un frère journaliste a Bandundu qui répond au même nom?<br /> Kipula Samba????? Journaliste très brillant.
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C
KIPULU Samba est journaliste de la RTNC, il fut engagé par Cyrille KIPULU son homonyme, mais ils ne sont pas de la même famille, mais du même territoire.