In memoriam Malao Hennecy
Bonjour,
un commentaire vient d'être posté par Tchadien sur l'article Passage des artistes étrangers au Congo, sur votre blog Le blog de Messager
Extrait du commentaire:
Dans cet intéressant article c´est le nom de Malao Hennecy qui a retenu l´attention particulière et de surcroît ce frère nous a quitté depuis 2006, il serait bon de nous faire auditionner une de ses chansons ou une chanson de l´Afrisa où son nom est cité. Papa Polo Kamba bokengelaka Malao Hennecy malamu.
Tchadien
Comme nous l’avons remarqué, le chanteur Malao Hennecy qui a passé de bons moments dans l’Afrisa du seigneur Tabu Ley n'est plus des nôtres. Il a quitté cette terre des hommes depuis mai 2006. Nous lui avons dédié l’acrostiche suivant pour nous remémorer de son talent et de sa présence au Congo. Dans l'au-delà où il se trouve, puisse-t-il trouver ici la reconnaissance de tous ceux et de toutes celles qui avaient apprécié son travail.
Mort, tu vivras toujours dans nos souvenirs
Absent, tu seras présent dans nos cœurs
Lorsque la vie entonnera tes œuvres
Adieu ami, repose en paix
Orfèvre à la voix
angélique
Ne possédant pas ses chansons, nous vous proposons deux titres de l’Afrisa où on peut écouter sa belle voix surtout dans son duo avec Rochereau dans Kimakango mpe libala. Comme l'a indiqué notre ami Pouko, vous pouvez consulter l'histoire de sa carrière musicale sur www.maziki.fr en cliquant ensuite sur " Artistes Centrafiricains " où apparaîtra son nom.
Samuel Malonga
Si je peux me permettre de compléter notre ami Samuel Malonga, je dirais que l’Afrisa avait immortalisé entre 1975 et 1976 un ressortissant Tchadien « MARADAS » dans l’une de ses chansons dont j'ai oublié le titre. Ce tchadien à cette époque étudiait à l’ISTI et était logé au homme des étudiants à Limete. La question que l’on peut se poser avec le recul est celle de savoir qui l’avait introduit dans les milieux de l’Afrisa ? Serait- ce le chanteur Malao Honnecey ?
Messager
1. Afrisa International, par Rochereau Tabu Ley et l'Afrisa
2. Kimakango mpe libala, par Rochereau Tabu Ley et l'Afrisa