Un témoignage d’Harold NGANGA 51 ans après.
Un témoignage d’Harold NGANGA 51 ans après.
L’accession à l’indépendance véritable, comme les luttes armées en cours à cette époque ont permis une renaissance culturelle. Le combat libérateur, sous toutes ses formes est apparu logiquement comme une constante de l’africanité culturelle. Celle-ci a été une réalité essentiellement fondée sur les hommes issus d’une même terre, vivant sur le même continent voué inéluctablement de par le processus nécessaire de décolonisation à tous les niveaux et de libération globale, du même destin, malgré les particularités régionales ou nationales.
Parce qu’elle était liée au même combat, parce qu’elle était facteur de libéralisation nationale, continentale, parce qu’en définitive elle a été le ressort premier et final de l’homme et que seule elle était susceptible de constituer le premier fonds de résistance aux menaces qui pesaient sur l’Afrique, cette africanité a été dépassement du cadre national et régional.
C’est en quelque sorte, ce que le jeune artiste Harold NGANGA, la révélation 2010, tente de témoigner à travers son nouvel album dont ci-après le clip : « L’INDEPENDANCE », actuellement dans les bacs.
Clément OSSINONDE