La réaction de Lita Bembo Libek à propos de la ballade à Libreville
Notre ami Papa Toto a contacté l’artiste musicien Lita Bembo Libek comme nous l’avons souhaité après la publication de l’ article sur la ballade de l’orchestre Stukas Boys à Libreville.
Toujours disponible et courtois, Lita Bembo a bien voulu apporter des précisions sur cette ballade qui avait effectivement eu lieu entre 1982 ou ’83 à Libreville au moment où il se trouvait en Europe.
Il a aussi donné les identités de trois musiciens sur la photo. Nous nous excusons à ce sujet de l’avoir confondu avec Le géant Makolin.
MSG
PAPATOTO NOUS TRANSMET LA REACTION DE LITA BEMBO LIBEK A PROPOS DE LA BALLADE A LIBREVILLE
Lita Bembo Nkolo Kwanga, absent durant la ballade de Libreville
Messager,
La réaction de Libek(Lita Bembo Kolo Kwanga) à propos de l’article : "STUKAS BOYS EN BALLADE A LIBREVILLE "
J’avais commencé par lui faire écouter les deux chansons "Ballade à Libreville et Mayouma ".
Question N°1 : Quels sont les souvenirs que Libek garde de Libreville et des
enregistrements de ces deux chansons ?
L’orchestre Stukas Boys a voyagé plus de quatre fois à Libreville. Les musiciens de Stukas Boys étaient comme les Zaïrois (congolais) pionniers de l’époque qui avaient visité Libreville.
Il avait joué au palais présidentiel, au stade, à Franceville, à Port gentil, tous ça ,c’est beaucoup de souvenirs
Question N°2 : Qui est Sam Samba ?
Libek : Sam Samba est un producteur congolais qui travaillait souvent au Gabon.
Ce producteur est l’auteur compositeur de deux chansons ci haut et les avait données à l’orchestre Stukas Boys .Pour que ce dernier puisse le mettre en musique. Mais Libek était absent de Kin car il était en Europe durant une année.
Question N°3 : Quelle est l’année exacte où ces deux chansons étaient enregistrées ?
Libek : Entre 1982 et 1983.
Question N°4: Libek est-il sur la photo de l’article "STUKAS BOYS EN
BALLADE A LIBREVILLE " ?
Libek : Non, il ne s’agit pas de moi. Par contre, il s’agit de Lomingo, Théo Lolango et
Makolin.
Papatoto
Ayélé Mama, par Sam Samba et Stukas Boys