Maboke témoin, par Bholen et le Négro-Succès
La liste de nos rareté est loin d'être clôturée. le Congo compte de nembreux artistes dont les oeuvres ne sont pas encore suffisamment vulgarisées.
Rien qu'avec ce que nous avons déjà diffusé, un lecteur nous écrit hier un e-mail dans lequel il a déclaré, qu'il s'est rendu compte que les artistes actuels manquent de créativité,dans la mesure où ils ne font que reprendre ce qui a été fait par l'ancienne génération.
En ce qui nous concerne,nous laissons le soin à chacun de tirer sa conclusion au fur et à mesure de l'évolution de notre Blog. Notre souci est d'arriver à diffuser au moins une oeuvre de chaque artiste musicien congolais, afin de permettre aux mélomanes de se faire une idée exacte sur notre musique.
Ajourd'hui, nous allons auditionner une chanson de Bholen, de son vrai nom Léon Bombole wa Lokole,sortie vers 1967 et dans laquelle il évoque la situation sociale:"misuni na kati ya nzungu ekomi ya kotanga".Si notre illustre "kulutu" vivait encore, il se rendrait compte que non seulement les "misuni",mais aussi et surtout les repas par semaine sont comptés en RDC.
Maboke témoin
Rien qu'avec ce que nous avons déjà diffusé, un lecteur nous écrit hier un e-mail dans lequel il a déclaré, qu'il s'est rendu compte que les artistes actuels manquent de créativité,dans la mesure où ils ne font que reprendre ce qui a été fait par l'ancienne génération.
En ce qui nous concerne,nous laissons le soin à chacun de tirer sa conclusion au fur et à mesure de l'évolution de notre Blog. Notre souci est d'arriver à diffuser au moins une oeuvre de chaque artiste musicien congolais, afin de permettre aux mélomanes de se faire une idée exacte sur notre musique.
Ajourd'hui, nous allons auditionner une chanson de Bholen, de son vrai nom Léon Bombole wa Lokole,sortie vers 1967 et dans laquelle il évoque la situation sociale:"misuni na kati ya nzungu ekomi ya kotanga".Si notre illustre "kulutu" vivait encore, il se rendrait compte que non seulement les "misuni",mais aussi et surtout les repas par semaine sont comptés en RDC.
Maboke témoin