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Publié par Messager

 

 « Chose promise, chose due ». Le 1er avril 2022, nous avions diffusé une des trois raretés de l’orchestre Yéyé national offertes par l’ami commun, en promettant aux mbokatiers la diffusion du reste de la dotation ultérieurement.

Ainsi, à l’occasion de la longue trêve pascale, nous proposons à nos lecteurs  deux œuvres intitulées : « Amour Zozo », de Benoît Lubanda « Benito », et « Télé Néné », de Daddy et l’orchestre Yéyé National. Deux œuvres du milieu des années ’60 chargées de souvenirs mouvementés du Congo « dipanda » et caractérisées (années ’60) par une créativité musicale sans précédent.

Nous rappelons aux mbokatiers que dans deux  mois, votre site totalisera 15 ans d’existence. En attendant, nous vous souhaitons une joyeuse fête de Pâques.

 

Messager

 

 

                                                  Max Mongali et isidore Nzanga Zizi

Juillet 1964 : orchestre Yéyé National (Bruxelles) de Jean-Pierre Nimy Nzonga (fondateur et guitare solo) ; avec Macaire Mangaya (chant et chef d’orchestre), †Louis Maxime Mongali Max Maxime (chant), Oscar Nsukami Balkis (chant), Isidore Nzanga Zizi (chant), Antoine Bokito Tony Dee (chant), †Roger Nimy Bouboul (chant), Léon Perry Bisengambi (chant), †Roger Kwamy Mambu Nzinga (chant), Max Mayaka (chant), Léon Ebeya Belon (guitare basse), Benoît Lubanda Benito (guitare), Léopold Bolemole Hammard (maracas et trésorier), Disu Ngelesi Pierre DEP Michelson (Tumba), Edmond Robson Tsasa (guitare), †Francis Bolenge Fifi (tumba), Christophe Mukoy (drums), Jacques Lumpungu (saxophone), †Shaumba Mulangala Bonita Bob Smith (tumba), †Arthur Lundu Lunart (guitare), Célestin Nyamaseko (chant), Edouard Monkato (tumba), †Charles Gaby Diomi (guitare), Eugène Diomi Ndongala (guitare) ainsi que le big manager Jean-Baptiste Mulemba Makubi dit Man Elijah (percussionniste).

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S
Afro Négro fut l'un des rares groupes des Belgicains à vair des saxophonistes.
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K
Bonjour à tous les mbokatiers et bon week-end pascal. Merci à Messager et au donateur de ces raretés. La musique, quand elle est bien faite, elle ressemble au vin. Plus les années passent, plus elle se bonifie. Concernant l'orchestre YEYE NATIONAL, une particularité m'a frappé. En effet, il ne comporte aucun souffleur, ni de clarinette chose un peu rare dans les années 50, 60. Pour moi, quand la clarinette a disparu des orchestres congolais, elle a emporté avec elle, une partie de l'âme de cette musique tant elle faisait une particularité avec son son mélodieux. Il n'en demeure pas moins que ces œuvres sont restées fantastiques. Du plaisir à écouter.
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M
Mon cher Blondé,<br /> Cette tendance initiée par les étudiants (belgicains) en Europe suite au manque d’assez de souffleurs parmi eux, a fini par être adoptée par les formations des jeunes au pays (Thu Zahina-Zaïko-Stukas , etc, etc), <br /> <br /> Messager