"Ekalago", pour détendre le nouveau public.
"Ekalago", pour détendre le nouveau public.
Une photo des Grands Maquisards
Depuis sa création (+ 5 ans), le public de mbokamosika a toujours été diversifié, nombreux, anonyme, parfois incontrôlable. Vous avez remarqué depuis un temps, que ce public est devenu plus restreint, plus responsable, et plus sécurisant.
Nous sommes donc passés d’une moyenne de 2000 lecteurs quotidiens à une bonne dizaine aujourd’hui.
D’aucuns pensent que la nouvelle formule, qui consiste à accéder au site par le biais d’un mot de passe aurait pour but la recherche du profit. Loin de là. Nous voudrions tout simplement préserver cette "bibliothèque" en empêchant les intrus de saborder le travail de plusieurs années comme ils s'y étaient déjà attelés. Ceci veut dire que nous déclinerons certaines contributions qui nous paraîtront douteuses, ou comme étant des « cadeaux empoisonnés ».
Par ailleurs, la nouvelle formule a aussi pour but de mettre fin à la copie de nos articles par les sites sans imagination qui ont pris l'habitude de les publier sans citer la source.
Ensuite nous voudrions rendre les membres de notre communauté responsables en "finançant" le média par lequel ils s’informent. C’est pourquoi nous avons, en guise de remerciement, accordé une consultation gratuite aux anciens contribuables qui en expriment la demande.
L'ordre et la visibilité de nos archives , repérables facilement par les visiteurs, méritent d'être encouragés par les utilisateurs dans la mesure où l'information peut être considérée comme un bien de consommation qui devrait s'acheter.
En guise de bienvenue au nouveau groupe, nous leur dédions une rareté de l’orchestre Maquisards(offerte par Kiku) intitulée "Ekalago", qui est en fait une interprétation d’une œuvre de l’artiste camerounais Eboa Lotin. Vous y apprécierez la voix scintillante de Ntesa Dalienst, après l’avoir découverte à travers les nombreuses chansons de Vox Africa , de Jeannot Bombenga.
Le bon vint arrive en retard. la nouvelle étape de notre blog vous réserve d'énormes surprises.
Messager
Ekalago, par les Grands Maquisards (vers 1971)