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Publié par Messager

 

JOSEPH KABILA SERAIT-IL DÉJÀ MORT ?

 

JOKA.jpgOù se trouve Joseph Kabila en ce moment ?  Officiellement, la population congolaise n’est au courant de rien. Personne n’a pris le soin de l'informer de l’état et de la position de celui qui s’était précipité de prêter le serment après la mascarade électorale, avant d’entamer une longue errance .

Mais depuis quelques jours, des bruits de plus en plus persistants prétendent que Joseph Kibila serait  déjà décédé et que l’on attend un bon moment pour l’annoncer  à la population.  Hier , aux environs de minuit ,et après la victoire de la Zambie sur la Côte d’Ivoire, une dépêche sur les actualités de Yahoo.de a fait état de la rumeur du décès de Joseph Kabila depuis quatre jours.

Ce qui semble bizarre c’est la coïncidence de cette rumeur avec l’accident du jet survenu hier à Bukavu qui a coûté la vie à l’un de ses principaux conseiller, Katumba Mwanke. Selon les dernières nouvelles, les proches collaborateurs de Kabila se rendaient dans l’île d’Idjiu.  Pourquoi ? S’y réfugier ou y cacher le reste des richesses soutirées à la Banque Nationale ? En tout cas, l'ambiance de fin de règne semble gagner le camp du "raïs".

En publiant cette rumeur, nous attendons du pouvoir des précisions sur l’état de Joseph Kabila, s'il considère que la RDC est un état de droit.

Enfin pour répondre à notre propre question, nous dirions que même si Joseph Kabila n'est pas mort physiquement, il l'est déjà politiquement.

 

Mbokamosika

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N
Kabila est en dangé lui croie qu'il est au dessus de la loi or nul n'en peut y étre. Si kabila ne laisse pas le pouvoir moi je touve qu'il est probable que kabila meurt. Kabila doit faire attantion à tous qu'il est entain de pratiquer et surtout non et non au changement de la constitution.
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S
<br /> Mbote na bino,<br /> <br /> <br /> Bo mitungisa te, Kanambe azali na ye, azalaki na ebembe ya Katumba Mwanke lelo tango<br /> ekendaki na Kinshasa.  Azalaka naye makambo ya important ya kosala te à part kobeta Nitendo na kobenda<br /> putulu, tala kaka elongi na miso naye.  C’est triste pour un semi continent, nionso oyo milangwa ya M’zée nde ememeli biso makama oyo.<br /> <br /> <br /> Boboto.<br />
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S
<br /> Joseph Kabila présent au deuil de son conseiller: http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=8fsVyUdQ5Cg<br /> <br /> <br />  <br />
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K
<br /> Primature : Joseph Kabila s’est entretenu avec sa famille politique à Kingakati<br /> <br /> <br /> Kinshasa, 13/02/2012 / Politique<br /> <br /> <br /> Joseph Kabila se trouve partagé entre deux options : l’ouverture politique annoncée dans son discours d’investiture le 20 décembre dernier et le respect de la Constitution.<br /> <br /> <br /> <br /> Joseph Kabila s’est entretenu dimanche 12 février avec sa famille<br /> politique, la Majorité présidentielle. La rencontre, loin du regard curieux de la presse, a eu lieu à Kingakati, la ferme du Chef de l’Etat congolais située à plus de 80 Km à l’Est de Kinshasa.<br />   Les tractations au sujet du futur formateur du prochain Gouvernement en RD Congo ont été au centre des échanges hier, à huis-clos, entre le président réélu Joseph Kabila et sa famille<br /> politique, la Majorité présidentielle (MP), a-t-on appris d’une source crédible. Mais, aucun nom n’a été cité comme pressenti successeur d’Adolphe Muzito.<br /> <br /> Dans les rues de Kinshasa, les supputations trônent. Certaines grandes figures de la scène politique du pays sont citées : Evariste Boshab, actuel président de l’Assemblée nationale, Aubin<br /> Minaku, député national réélu et Secrétaire général de la MP. Pierre Lumbi, Conseiller spécial de Joseph Kabila et autorité morale du MSR ainsi que Léon Kengo wa Dondo, président sortant de<br /> l’actuelle Chambre haute du Parlement, viennent allonger la liste des potentiels «primaturables». Mais rien n’est sûr pour l’instant. Joseph Kabila étant le seul à détenir les secrets du profil<br /> robot du candidat Chef de l’Exécutif national.<br /> <br /> Entre-temps, les 19 membres de l’Exécutif actuel élus députés nationaux, bien que réputés démissionnaires, devront opérer un choix entre l’hémicycle du Palais du Peuple et l’Hôtel du<br /> Gouvernement. Il en sera de même pour les huit gouverneurs de provinces également élus députés nationaux. Toujours en rapport avec la nomination du Premier ministre, le président Joseph Kabila<br /> se trouve partagé entre deux options : l’ouverture politique annoncée dans son discours d’investiture le 20 décembre dernier et le respect de la Constitution.<br /> <br /> A ce propos, plus d’un analyste estime qu’il n’y a point d’embarras. En manifestant sa disposition à s’ouvrir à l’Opposition politique, le Chef de l’Etat congolais ne s’empêcherait pas de<br /> nommer un Chef de l’Exécutif issu de sa famille politique. Quitte à conférer quelques ministères à l’Opposition politique qui ne manque pas de compétences.   Quant au choix d’un<br /> Premier ministre issu de la Majorité, Joseph Kabila n’aura pas énervé la Constitution. Bien au contraire.<br /> <br /> Car, si tel sera le cas, le Président congolais se sera conformé aux prescrits de l’article 78 de la Constitution. Dans cette disposition, le législateur congolais dispose: « Le<br /> président de la République nomme le Premier ministre au sein de la Majorité parlementaire après consultation de celle-ci. (…) Si une telle majorité n’existe pas, le président de la République<br /> confie une mission d’information à une personnalité en vue d’identifier une coalition. La mission d’information est de trente jours renouvelable une seule fois. »<br /> <br /> A la lumière de cette disposition de la Constitution, la question sur le choix d’un Premier ministre ne semble plus appeler le moindre débat. Ce, dans la mesure où les résultats des<br /> législatives du 28 novembre dernier sont édifiants. Ces délibérations de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) donnent favori le Parti du peuple pour la reconstruction et la<br /> démocratie (PPRD). En attendant le verdict de la Cour suprême de justice (CSJ) portant validation desdits résultats, le parti présidentiel PPRD est, sauf erreur de comptage, loin en tête avec<br /> 63 députés élus.<br /> <br /> Par rapport à d’autres partis de la Majorité présidentielle, ce nombre confère un avantage comparatif au PPRD, le parti au pouvoir. Et, s’il faut lui ajouter les sièges de ses alliés, le PPRD<br /> pourrait davantage caracoler en pole position des palmarès avec plus de 100 sièges à l’Assemblée nationale.<br /> <br /> 
Choisir entre le gouvernement et le palais du peuple<br /> <br /> Sauf modification de calendrier de dernière minute, les Congolais sont à quelque trois jours de l’ouverture de la session extraordinaire de la nouvelle Assemblée nationale, prévue ce jeudi 16<br /> février. En plus de l’élection des membres du Bureau provisoire, la plénière devra également procéder à la validation des mandats des députés élus. Ce, en attendant le verdict définitif de la<br /> Haute Cour qui a deux mois pour se prononcer. Autrement dit, il ne serait pas étonnant de voir certains députés validés par la plénière invalidés par la Cour suprême de justice.<br /> <br /> Entre-temps, les dix-neuf membres du Gouvernement élus à la députation nationale devront choisir entre le Palais du peuple et l’Hôtel du gouvernement. Car, il y en a parmi eux qui méritent la<br /> confiance du président Joseph Kabila qui aimerait bien les voir dans le prochain Gouvernement. L’avantage de ce choix en amont est qu’il facilitera le choix des membres de l’Exécutif national<br /> en gestation. Il en est de même des huit Gouverneurs des provinces ayant reçu le mandat de représenter leurs circonscriptions au sein de l’Assemblée nationale.<br /> <br /> Cependant, quelle que soit l’option à lever, le ministre qui aura choisi de rester au Gouvernement n’aura rien perdu. Car, en cas de remaniement du prochain gouvernement il reprendra son siège<br /> à l’hémicycle, conformément aux alinéas 2 et 3 de l’article 110 de la Constitution qui disposent : « (…) Toutefois, lorsqu’un député national ou un sénateur est nommé à une<br /> fonction politique incompatible avec l’exercice de son mandat parlementaire, celui-ci est suspendu. Il reprend de plein droit son mandat parlementaire après la cessation de cette fonction<br /> politique incompatible ». Malheur aux suppléants !<br /> <br />
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M
<br /> Est-il normal qu'un président s'absente pendant plus d'un mois sans que le peuple n'en soit informé. L'opinion spécule par manque d'information officielle. Ceux qui sont à la tête du pays pensent<br /> qu'ils n'ont aucun compte à rendre aux  congolais.<br /> <br /> <br /> Nous attendons leur démantie, comme d'habitude. Mais est-il que le "rais" est très mal en point.<br /> <br /> <br /> Imaginez  quel serait l'état de la bourse après une absence prolongée du chef de l'Etat (qui n'est plus en possession de ses facultés psychiques) dans<br /> un pays normal ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Messager<br />
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A
<br /> D´après Vieux na ngai Lambio Lambio Mende Omalanga, Joseph Kabila les a recus à la ferme de Kingakiati au plateau des batéké, en plus Vieux na ngai Lambi Lambio a le visage conflé, c´est comme si<br /> AZALI KOBELA, c´est pas normal elongi wana, on lui a déjà fait bouffer le NDIKILA comme on dit en Tshikongo ou ameli BOLONDO NZETE MABE, les jours à venir seront riches en événéments sans suite,<br /> wait and see !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Allo Kin<br />
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S
<br /> Comme l'ont dit Adei Toko et Simba Ndaye, il y a trop de bruits qui courent à propos de lui. Ce qui est sûr et comme il n'y a pas de fumée sans feu, il se passe quelque chose. Car il y a<br /> quelque chose de louche dans ce silence et cette absence prolongés. Mais comme la vérité aime être nue, elle finira par éclater au grand jour. Je crois que le compte à rebours a commencé.<br />
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S
<br /> Comme Adéi Toko, je ne crois pas non plus qu'il soit mort. Par contre, la disparition de Augustin Katumba Mwanké est incontestablement un coup dur pour<br /> Kabila, surtout dans les conditions où cela est advenu. Les liens entre les deux hommes étaient allés au-delà de tout ce qui était raisonnable. A tel point que des esprits<br /> faibles ont fait état d'un pacte de sang. Et ça, chez nous, qu'on soit cartésien ou pas, rationnel ou pas, si cela était avéré les conséquences sont toujours redoutables. Ce qui est sûr, c'est<br /> que plus rien ne serait plus comme avant. Le roi est nu... La descente aux enfers a commencé.<br />
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A
<br /> Je ne le pense pas mais j'aurai appris qu'il serait devenu schizophrène et il se raconte qu'il ne coulerait pas seul.Tous ceux qui l'ont entraîné dans des voies occultes vont payer de leur vie<br /> cette incartade.Vrai ou Faux attendons voir<br />
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