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Publié par Messager


Qui peut répondre à la question de notre jeune ami ?

Salut  cher compatriote de la diaspora

J'aimerai connaître d'avantage sur ce mythique et mélancolique

ensemble musical de jeunes étudiants de la diaspora des années 60

qu'est LOS NICKELOS. Qui fut reellement ce grand chanteur et

compositeur Max Mongali ? Que sont devenus Zizi et Tony Bokito?

Il parait que la chanson EMINENCE est une histoire vraie.

Au plaisir de vous lire très bientôt.

 

Didier Beleke





Max Mongali (photo envoyée par Richard Kasongo)
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A
Zizi Nzanga a été sauvé in extremis par son ami Zatho Kinzonzi. C'est un vieux du quartier( avenue Kingunda à Yolo -nord); C'est le grand frère du Major Sila pour ceux qui habitaient yolo; son autre frère travaillait à la RENAPEC puis à Télé Zaïre. Vieux Zizi avait trouvé refuge dans l'alcool et pas trop beau à voir bien que toujours bien habillé. Ses nouvelles sont montées auprès de ses anciens amis qui faisaient partie des privilégiers du régime de Mobutu et, fin des années 80 ou début de l'année1990, celui-ci fut envoyé en poste diplomatique en Grèce en même temps que Lukunku Sampu qui, lui, partait au Portugal. J'ignore ce qu'il est devenu; certainement que nos frères et sœurs qui habitent en Grèce ont plus d'infos sur lui. C'est juste une petite contribution.
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Y
<br /> <br /> her ami,<br /> <br /> <br /> Je commencerai par vous dire que Max Mongali n' a jamais été dans Los Nickelos mais bien dans Yéyé National de Bruxelles au moment où Los Nickelos était un ensemble des étudiants de Liège dont,<br /> les frères Nzeza, Tony Bokito , Zizi Zanga, Zatho et autres....<br /> <br /> <br /> Tony dee BoKito vit en ce moment à Bruxelles dans la commune d'Anderlecht. Zizi Zanga vit en Grèce à Ahtène où il était diplomate.<br /> <br /> <br /> <br />
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R
Voir la photo de notre grand artiste Idi Mane Max.(article de Gd Lac)-
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R
C'est article de ne de moi, moi aussi je voulu savoir sur c'est artiste MAX MONGALI....ARTICLE DE GRAND LAC  :<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> MOGALI Idi Mane<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Un des meilleurs Paroliers congolais du Siècle Max Mongali Ida Mane décédé à 54 ans à Kinshasa en 2001 a était l'un des illustres, discrets et humbles « forgerons »de la musique congolaise contemporaine. Il se distingue dès son arrivée en Belgique pour ses études notamment à l'université catholique de Leuven (Louvain) où il poursuivait les études de Droit. II fut artiste musicien amateur par amour de la musique à côté de ses amis étudiants comme lui qui formèrent des petits groupes musicaux pour conserver et maintenir les liens culturels avec le pays dénommés : " Los Nickelos " à Bruxelles et Yeyé National à Liège. Poète confirmé dans l'âme, il devient naturellement un des grands paroliers de la musique congolais totalement inconnu du grand public, comme beaucoup d'autres d'ailleurs, et comme pour ne pas déroger à une règle non écrite des Nzonzi dans la culture Koongo. Il écrivit, voire composa, plusieurs chansons alors qu'il était encore étudiant en créant une syntaxe particulière qui démontre aujourd'hui encore la puissance grammaticale et la richesse du vocabulaire qui a fait du LINGALA la langue par excellence de la parole et de la pensée litteraire congolaise. Mongali a à jamais marqué la culture musicale congolaise comme ses aînés notamment par ses œuvres les plus connues telles que Salaminga et Matinda qui furent merveilleusement interprétées par le Maître, lui-même : Luambo Makiadi et son inégalable le TP (Tout Puissant), OK-Jazz. Mongali écrivait en suivant son inspiration, mais surtout, il savait que chacune des ses œuvres ne devait correspondre qu'à un style particulier de l'écriture musicale, de jouer et de faire de la musique. Comme Essous et ses complices Manu Dibango et Kallé, il savait qui pouvait faire la meilleure interprétation et composition musicale de son poème.C'est ainsi que plusieurs de ses poèmes qui révélaient son engagement politique comme Lombonga dédiées à Lumumba, Nkwame Krumah, et autres étaient interprétés aussi bien par des grands musiciens que par des jeunes pousses. Ainsi, près de 80 % de ses œuvres se retrouvent dans l'actif du groupe Zaïko Langa Langa où Mongali collabora intensément avec Jossart Nyoka Longo et Bimi Ombale. Il composa le texte de la chanson " Charles Kimpiatu " pour le compte de King Kester. Et pour Pépé Kalé, plusieurs textes dont entre autres " Zabolo, Nsombokila, etc. Ne suivant que son cœur, son amour pour la musique congolaise, il écrira pour ceux qui viennent le consulter, chercher ses conseils. Il écrit pour les groupes Thu Zahina et Empompo Loway sans faire des jaloux. Il y en avait pour tout le monde ! Ce sera en fait l'Afrisa International de Pascal Tabu Rochereau qui vient de quitter African-Fiesta qui donnera la première occasion à Mongali de démontrer ses talents de parolier hors paire. En effet, il offre ses premiers textes inédits que sont : Djibebéké et Jhonny mon amour, Byby, Mokolo na Kokufa, Mongali, Frigo FNMA et autres. D'autres textes sont écrits pour un nouveau style qui prend corps sous l'impulsion de Papa Wemba, notamment : Eve Paradis et Nelson Mandela, le plus ancien prisonnier politique qui vient de battre le record mondial de durée sous l'apartheid en Afrique du Sud. Et quand Rochereau aide et transforme Mbilia Bel, l'une des ses danseuses ou " rocherettes " en chanteuse de premier rang (ou ténor) dans son groupe l'Afrisa International, Mongali écrit spécialement pour elle les textes des chansons : Mpevé ya Longo, Sima na ngai Mwana Mawa et Contre ma Volonté. Quant à Koffi Olomidé, il lui élabora une de ses meilleures œuvres originales: Djino Bokana. Dans toute sa production prolixe, Max Mongali Ida Mane alias le vieux Pop n'a jamais souhaité paraître au devant de la scène en refusant de signer en son nom fusse-t-il une seule chanson. A son actif on compte la création d'un groupe musical comme son homologue de Maya-Maya Freddy Kebano pour le travail en studio d'enregistrement baptisé : Africa-Mélodie. Le groupe les Yatupas fut également une de ses initiatives, qui regroupait Pépé Félix, Mantsiamina Popol, Ray Lema (qui officie actuellement en Europe après un long séjour à Cuba et aux USA), Zoé Wawanko, Rigo Moya, Ntésa Daliens et Djo Mpoyi. En fait, c'est dans ce seul Groupe qu'il osera signer deux compositions lui-même : Etiké et Un grand amour. Il aura ainsi, mis le pied à l'étrier à plusieurs interpréteurs musicaux congolais. Comme d'autres, il est parti trop tôt. Encore une chance pour la culture congolaise qu'il ait su écrire, sinon, le peuple noir, le peuple Koongo aurait une fois encore définitivement perdu avec Mongali parti à "Mpemba" une BIBLIOTHÈQUE.<br /> Gds Lac Magazine & Mb<br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />
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