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Publié par Messager

 En finir avec la médiocrité, tel est l'objet du coup de gueule que notre ami Andochanga a  dernièrement poussé sur Radio Mangembo. Nous le reproduisons à l'intention de tous les amis de Mbokamosika pour une meilleure vulgarisation.
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<br /> <br /> <br /> <br /> Coup de gueule <br /> Sur Radio MANGEMBO<br /> 99,7 FM<br />  <br /> Connectez-vous sur www.mangembo-fm.com<br /> De lundi à vendredi à 12h15<br />  <br /> Lettre ouverte à <br /> Jerssy Jossart NYOKA LONGO<br /> Président du groupe musical<br /> ANTI CHOC TOUT CHOC <br /> ZAIKO LANGA LANGA <br /> KOLO MBOKA<br />  <br />  <br /> Bonjour, Maître NYOCH,<br /> Les adresses électroniques des Congolais de la diaspora se sont émues, les jours passés, de ce que vous, Jerssy Jossart NYOKA LONGO, leader du mythique groupe musical congolais « Le Tout Choc Anti Choc ZAIKO LANGA LANGA KOLO MBOKA », vous vous soyez décidé à rentrer au pays, la R.D. CONGO, après six ans de séjour et parfois de déboires en Europe. Dans un premier temps je me suis dit : « Purée, il était là, notre NYOKA LONGO national, et pas beaucoup de Congolais de cette diaspora se préoccupaient des conditions de vie qui étaient les siennes. Laissez-le donc rentrer tranquillement au pays s’occuper de son groupe, le ZAIKO LANGA LANGA, qui fête cette année ses 40 ans d’existence. <br /> En effet, certains ont vu derrière ce retour la main géante et maladroitement cachée du pouvoir de Kinshasa, du pouvoir de Joseph KABILA KABANGE. Nous sommes nombreux à nous être dit, à ce propos : « Que diantre… C’est un grand garçon, Jossart NYOKA LONGO. Il a le droit d’embrasser qui il veut, où il veut, quand il veut. Qu’on lui lâche les baskets».<br /> Maître NYOCH, vous devez être en train de vous dire que je ne vous dis rien de nouveau et que je vous fais perdre votre précieux temps. Si pourtant. Si. J’ai quelque chose de nouveau à vous dire.  Je vous le dis tout de suite. Permettez-moi seulement de vous tutoyer, comme on dit tu à un être cher.<br /> Je suis de ceux qui pensent que, depuis 50 ans que le Congo est indépendant, ZAIKO LANGA LANGA est la seule chose congolaise créée par des Congolais qui ait existé chaque jour pendant 40 ans. J’ai cherché, cherché, cherché, une autre chose congolaise qui ait eu une plus grande longévité, je n’ai pas trouvé. Oui, Jossart, je parle de ce ZAIKO LANGA LANGA là, notre « BUENA VISTA SOCIAL CLUB national », et je m’adresse à toi, notre COMPAY SEGUNDO national, toi qui a, grâce à ta combativité, ton courage et ta ténacité, parfois seul contre tous, en tout cas pas toujours grâce à tous, toi qui a su garder le bateau national nommé ZAIKO LANGA LANGA sur les flots.<br /> Dans les temps passés, il s’est trouvé des monuments de notre galaxie artistique, et pas des moindres, qui s’étaient compromis avec un pouvoir dont nous savons aujourd’hui qu’il eût pu faire mieux que ruiner les chances de développement de notre nation, mieux que miner par la racine les espoirs de mieux-être de notre peuple, le peuple de la République Démocratique du Congo.<br /> Alors, please, please, ne soyez pas un deuxième FRANCO, dans l’histoir
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<br /> <br /> <br /> <br /> Coup de gueule <br /> Sur Radio MANGEMBO<br /> 99,7 FM<br />  <br /> Connectez-vous sur www.mangembo-fm.com<br /> De lundi à vendredi à 12h15<br />  <br /> Lettre ouverte à <br /> Jerssy Jossart NYOKA LONGO<br /> Président du groupe musical<br /> ANTI CHOC TOUT CHOC <br /> ZAIKO LANGA LANGA <br /> KOLO MBOKA<br />  <br />  <br /> Bonjour, Maître NYOCH,<br /> Les adresses électroniques des Congolais de la diaspora se sont émues, les jours passés, de ce que vous, Jerssy Jossart NYOKA LONGO, leader du mythique groupe musical congolais « Le Tout Choc Anti Choc ZAIKO LANGA LANGA KOLO MBOKA », vous vous soyez décidé à rentrer au pays, la R.D. CONGO, après six ans de séjour et parfois de déboires en Europe. Dans un premier temps je me suis dit : « Purée, il était là, notre NYOKA LONGO national, et pas beaucoup de Congolais de cette diaspora se préoccupaient des conditions de vie qui étaient les siennes. Laissez-le donc rentrer tranquillement au pays s’occuper de son groupe, le ZAIKO LANGA LANGA, qui fête cette année ses 40 ans d’existence. <br /> En effet, certains ont vu derrière ce retour la main géante et maladroitement cachée du pouvoir de Kinshasa, du pouvoir de Joseph KABILA KABANGE. Nous sommes nombreux à nous être dit, à ce propos : « Que diantre… C’est un grand garçon, Jossart NYOKA LONGO. Il a le droit d’embrasser qui il veut, où il veut, quand il veut. Qu’on lui lâche les baskets».<br /> Maître NYOCH, vous devez être en train de vous dire que je ne vous dis rien de nouveau et que je vous fais perdre votre précieux temps. Si pourtant. Si. J’ai quelque chose de nouveau à vous dire.  Je vous le dis tout de suite. Permettez-moi seulement de vous tutoyer, comme on dit tu à un être cher.<br /> Je suis de ceux qui pensent que, depuis 50 ans que le Congo est indépendant, ZAIKO LANGA LANGA est la seule chose congolaise créée par des Congolais qui ait existé chaque jour pendant 40 ans. J’ai cherché, cherché, cherché, une autre chose congolaise qui ait eu une plus grande longévité, je n’ai pas trouvé. Oui, Jossart, je parle de ce ZAIKO LANGA LANGA là, notre « BUENA VISTA SOCIAL CLUB national », et je m’adresse à toi, notre COMPAY SEGUNDO national, toi qui a, grâce à ta combativité, ton courage et ta ténacité, parfois seul contre tous, en tout cas pas toujours grâce à tous, toi qui a su garder le bateau national nommé ZAIKO LANGA LANGA sur les flots.<br /> Dans les temps passés, il s’est trouvé des monuments de notre galaxie artistique, et pas des moindres, qui s’étaient compromis avec un pouvoir dont nous savons aujourd’hui qu’il eût pu faire mieux que ruiner les chances de développement de notre nation, mieux que miner par la racine les espoirs de mieux-être de notre peuple, le peuple de la République Démocratique du Congo.<br /> Alors, please, please, ne soyez pas un deuxième FRANCO, dans l’histoir
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G
Frère LELO… Ta réponse me fait me sentir un peu mieux, et, même toi, je te sens plus optimiste et moins blasé que dans la première. Je partage tout à fait ton opinion selon laquelle nous intellectuels congolais SOMMES LE PROBLEME du Congo, et qu’en analysant nos peurs, nous saurons peut-être les comprendre, et sûrement les assujettir à notre vouloir et à notre vœu de service pour les autres et pour la communauté. Ah, il y a dans le débat à boire et à manger. Il y a en tout cas suffisamment pour remplir toute une vie, toute la vie des congolais de notre génération, et ainsi permettre aux enfants et petits-enfants qui viennent après nous de trouver un pays où il fait meilleur vivre. C’est leur seul choix qui nous est laissé aujourd’hui, 40 ans après l’indépendance du Congo, EXACTEMENT UN SIECLE après que le premier Congolais avait fait des études supérieures. Salutations fraternelles.  <br /> Guillaume.<br />  
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L
Chers frères et soeurs pour éviter toute propension d'exclusion, puisqu'il n' y a aucune raison valable de le faire. Veuillez m'excuser de revenir sur le forum. Je n'ai nullement l'intention de monopoliser la parole, ni celle d'assouvir ma soif de parler et m'attirer la gloriole d'un beau parleur. J'y reviens pour deux choses. Remettre l'église au milieu du village et rendre à César ce qui est à César. En relisant mon discours d'hier, je me suis rendu compte que j'ai utilisé une expression qui est un non sens total à l'encontre de mon frère Andochanga, lorsque je lui ai dit sans prendre garde que son message aller faire choux blanc. Cette expression est indigne de moi et elle ne fait pas honneur . Presque par prétention, je me suis mis à la place des congolais et j'ai parlé  à leur nom.La preuve de mon accablante erreur, c'est que le frère Guillaume a réagit. Mon frère, je suis content du tutoiement, c'est un signe que nous sommes proches et familiers. Et j'en profite pour la mise au point d'une notion qui nous a fait beacoup de tord dans le passé et qui continue du reste. La notion d'intellectuel. L'intelligence est un ensemble des fonctions mentales à la  dispositon d'un individu. Dans la vie des hommes se développe deux manières de travaller:celle avec les muscles, c'est le travail manuel; avec exclusivement l'intelligence , c'est le travail intellectuel. Toi comme moi nous savons qui abuse de qui entre ces deux travailleurs.La deuxième raison de mon intervention, vient de ce que nous pensons sur le mal congolais. La pertinence de ton anlyse sur la capacité de Thomas K anza d'avor fait des études universitire n'a rien avoir sur la capacité de l'indiidu Thomas Kanza à se mettre et de mettre son intelligence au service de ses semblables. Nous allons cherché parfois trés loin, des choses qui sont à portée de main. Avant de résoudre un problème, il est bon de lire l'énoncé, poser les données, chercher des formules et trouver la ou souvent les solutions. Mon cher Guillaume tu es une part du problème congolais. Je suis une part du problème congolais et tous collectivement nous sommes une part du problème congolais. Par conséquent la solution ou les solutions aux problèmes sont en chacun de nous. Je suis d'accord avec Andochanga lorsqu'il dit qu'il n'y a pas de coupable. Mobutu, ni les opportunistes dirigeants qui prennent la chose pubique pour un bien personnel ne sont pas coupables de ce qui arrive aux congolais. Nous sommes tous responsables. Qui a chanté, dansé Mobutu cent ans tu kutombele(nous te souhaitons cent ans de règne)? C'est toi, c'est moi, c'est nous.  Tu me diras il y avait la peur du MPR. Eh! oui un homme qui a peur perd sa dignité d'homme, son sens de RESPONSABLE. Dieu a créé l'homme libre, donc RESPONSABLE. Te souviens-tu de la réponse de Caïen à Dieu: suis-je responsable de mon frère? Récit du premier crime de l'humanité. Caïen a tué Abel non pas parce qu'il était plus fort que lui! Abel a fait rentrer la peur en lui, il s'est affaibli. Ce qui a renforcé le capital énergie de son frère pour le tuer. Le congolais doit se souvenir qu'il est une créature divine, donc responsable; Le choix d'une destnée ne se fait pas par la peur de l'autre ou par la vente de son droit de rsponsable comme ESAü qui a vendu son droit d'ainé à son jeune frère Jacob. Analysons notre peur individuelle, avant de parler de notre peur collective. Salutations fraternelles LELO 
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G
Frère LELO… On peut se tutoyer ? Je t’ai donc lu… Comme toi, j’ai aimé le coup de gueule d’Ando CHANGA. Moi, comme je suis un esprit simple, je l’ai traduit en quelques mots. Bien qu’abondamment intellectuels, précurseurs dans bien de domaines, et ce depuis belle lurette, les Congolais semblent à ce jour n’avoir pas réussi COLLECTIVEMENT beaucoup de choses durables. Entre autres raisons parce que notre évolution morale n’a pas mis au centre de nos préoccupations l’idée du service aux autres, qui est la traduction de l’amour que nous pouvons prétendre ressentir pour nos frères et sœurs ou pour notre pays.<br />  <br /> Je ne me soucie pas encore de ce qui ce rend Andochanga si fort et si convaincu de son diagnostic. Je me suis simplement dit : tiens donc, c’est vrai que nous Congolais, nous avons réussi collectivement si peu de choses durables. Le pays, les 60 ou 80 millions de citoyens congolais, (je pourrais même extrapoler à tout un ensemble africain) me donnent l’image d’un peuple en déshérence. Et pourtant ! Si notre premier universitaire officiel, Thomas KANZA, entre en fac en 1952, l’histoire nous révèle que dès 1908, Paul PANDA FARNANA (1888-1930), né à Nzemba près de Banana et qui arrive en Belgique en 1900, obtient en 1907 un diplôme d’études agricoles avec distinction et en 1908 boucle à Nogent-sur-Marne en France un cursus d’études supérieures d’agriculture tropicale qui lui confère un certificat d’Etudes. Panafricaniste, Paul PANDA FARNANA deviendra un partenaire du Sénégalais Blaise DIAGNE, collaborera dès 1919 avec W.E.B. Du BOIS, sociologue et leader afro-américain de la NACCP. Paul PANDA FARNANA est donc contemporain et allié objectif de Marcus GARVEY.<br /> Moi je me dis : ce n’est pas possible. Un fil doit s’être coupé quelque part, à moins que nous n’ayons été victimes d’une fumisterie qui nous a fait prendre des vessies pour des lanternes. Nous sommes des intellectuels congolais, je suppose. Pouvons-nous continuer de nous regarder chaque matin dans la glace, si nous ne nous donnons pas la peine de chercher des réponses à ces questions, ou de comprendre ce qui s’est passé et d’y remédier ?<br /> Bon, il nous reste la liberté de penser qu’être Congolais est devenu tellement difficile qu’il vaut mieux décider de cesser de l’être…Qui s’en rendra compte, d’ailleurs ? Surtout pas nos parents, nos oncles, nos tantes, puisque le Western Union continuera de faire la navette vers le pays, et que là, au pays, nos villes resteront celles où l’on trouve les téléphones portables les plus design, et les rares d’Afrique où l’on ne se lève que pour aller retirer des Western Union à l’agence du quartier…<br /> Guillaume
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G
Coup de gueule <br /> Sur Radio MANGEMBO<br /> 99,7 FM<br /> De lundi à vendredi à 12h15<br /> Nous ne sommes pas des victimes et il n’y a pas de boucs émissaires !<br />  <br /> Médiocrité et médiocratie<br /> Contre<br /> Sagesse, amour, sens du service<br />  <br /> La Médiocrité est la plus grave maladie dont souffre une grande partie (disons la majeure partie) le l'élite congolaise, dont nous sommes.<br /> La Médiocratie est la forme la plus répandue dans la plupart d'organisations congolaises en RD Congo comme dans sa diaspora (famille, quartier, ville, pays, partis politiques, Eglises, ONG, orchestres, administrations, mouvements sportifs, entreprises, associations, etc.). <br /> Comme, nous le disons toujours, le MAL est profond.Il nous faut KIMIA, MWINDA MPE BOLINGO (PAIX, LUMIERE ET AMOUR).Le temps presse et il devient impératif de nous construire individuellement et collectivement. <br /> Notre problème relève d'une véritable COMPLEXITE qui appelle une mobilisation de toutes les INTELLIGENCES. Il ne s'agit pas uniquement de nos facultés intellectuelles. Nous en avons certes besoin mais avec toute objectivité, toute sincérité, il nous faut nous rendre en évidence que nos diplômes, nos expertises et nos maîtrises en français, anglais, en mandarin, japonais, suédois et que sais-je encore ne nous ont pas permis collectivement de sortir notre pays de sa TORPEUR morbide. Il faut que nous prenions conscience que l'être humain dans sa complexité dispose d'autres dimensions qui forgent ses CAPACITES, lui procure "ENERGIES" permettant ainsi que SA "VOLONTE" se mette au service d'une réelle VISION.<br /> N'importe quoi ! Que de mots diront certains !<br /> Mais qu'à cela ne tienne ! Force est de constater les limites de notre "Foi" inébranlable à nos SEULES capacités intellectuelles comme moyen pour AGIR. Constatons que nous sommes souvent pour ne pas dire toujours entrain de REAGIR et acceptons que jusqu'à ce jour (et c'est depuis l'indépendance) nos réactions sont restées INADAPTEES voire malheureusement MALADROITES et INCOHERENTES. Alors, que faire ?<br /> Puisque nous soulignons les limites de l'INTELLECT, il ne faut ni en déduire son inutilité ni en conclure que diplômes et études sont CONDAMNABLES. Il nous faut sûrement poursuivre notre formation intellectuelle. Que notre instruction puisse constituer la lumière qui éclaire notre environnement, aide à mieux le comprendre afin de pouvoir le SERVIR.<br /> SERVICE. Voici le BUT et le Sens de nos sacrifices et efforts consentis dans nos divers cursus. Il nous faut encore nous rendre à l'évidence que la plupart d'entre nous ne suive pas ce chemin une fois diplômes et autres titres obtenus.<br /> Alors, que dire ? Que faire pour ne pas rester dans ce stade de "demi-humain" ? Il ne s'agit pas d'insulte à notre "personne congolaise" ni d'une quelconque complexe d'infériorité. Il est question de perception et surtout de LUCIDITÉ. Puisque nos facultés intellectuelles ne suffisent pas pour faire de nous des VRAIS SERVITEURS de nos frères et sœurs, acceptons en toute MODESTIE qu'il nous faut RÉVEILLER, STIMULER et UTILISER d'autres facultés qui sont enfouis en nous.<br /> Ne nous trompons surtout pas dans le sens de nos propos. Il n'est pas question de POUVOIRS PSYCHIQUES tant recherchés ni des prétendus MIRACLES tant proclamés. Nous sommes entrain de parler des CAPACITÉS MORALES (droiture, excellence, altruisme, rigueur, probité, etc.)<br /> Il est dit : "SCIENCE SANS CONSCIENCE N'EST QUE RUINE DE L'AME"Cette citation proviendrait du Roi Salomon (ancien testament), passant par les écoles scolastiques du moyen âge (chrétiennes, musulmanes et juives)   pour être à terme attribuée (à tord ou à raison) à Rabelais. "Rabelais est l'un des humanistes les plus connus de la Renaissance, qui lutta avec enthousiasme pour renouveler, à la lumière de la pensée antique, l'idéal philosophique et moral de leur temps."<br /> Mais, il semblerait que cette citation manque la deuxième moitié ! En effet, le Sage Salomon aurait dit : " Science sans conscience n'est que ruine de l'âme. Tu dois servir, aimer et craindre Dieu, et mettre en lui toutes tes pensées et tout ton espoir ; et par une foi nourrie de charité, tu dois être uni à lui, en sorte que tu n’en sois jamais séparé par le péché. »<br /> Soit dit en passant, cette citation aurait bien entendu une origine qui se perd dans la nuit des temps. Il faudrait certainement aller dans les temples égyptiennes pharaoniennes qui accueillir plus tard des sémites et autres grecs comme élèves. Enfin, là n'est pas l'essentiel car c'est une autre histoire. Quoique... Enfin passons !<br /> Cette citation reste un vaste programme qui nécessite en effet de pouvoir non seulement allier SCIENCE et CONSCIENCE. Mais, il est aussi question de RECHERCHER DIEU, de pouvoir s'ABANDONNER à LUI et de s'UNIR à LUI.<br /> Point de confusion ! Nous sommes entrain de parler non pas des RITES, pas de CULTES, pas de LIVRES SACRES ni d'autres organisations ou supports qui devraient nous conduire vers Dieu ou pour notre soi disant salut. Il est ici question des CAPACITES SPIRITUELLES (Esprit, âme, notre essence).Les Sages (de tout temps et partout sur cette Terre) nous disent que : "Nous sommes appelés à rechercher en NOUS, au plus profond de notre être, cette Force, cette Puissance qui peut nous faire vaincre toute peur. <br /> Nous avons en nous une source de CONNAISSANCE qui est la SOURCE DE TOUTE CONNAISSANCE PARTICULIERE". Les Sages prétendent que : "L'AME est la Source d'une SAGESSE, d'un AMOUR et d'un POUVOIR immenses, mais nous restons dans l'IGNORANCE de ses trésors quand nous nous laissons subjuguer par le MENTAL, LES SENS ET LE CORPS PHYSIQUE".<br /> Andochanga.
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L
A mon frère Andochanga,Vos voeux pour le nouvel m'ont bcp touché pour la profondeur de son message. vous avez su avec une simplicité presque remarquable toucher ce qu'il y a de plus noble et  plus élevé dans l'humain quel soit son niveau d'évolution actuel:l'Amour. Votre honnêteté intellectuelle ne vous a pas trahi. Vous nous avez modestement fait comprendre que votre source d'inspiration était un sage. Peu importe qui il est. Il en est sorti un fait saillant c'est que ce que vous nous avez servi à manger n'était pas de simples élucubrations intellectuelles fraîchement sorties de votre mental. Il sagissait là bien d'une sagesse que vous avez expérimentée, vous vous en êtes appropriée pour définitivement en faire vôtre.Vous nous avez sans complexe parler en maître, celui qui a la maîtrise de l'élément dont il a la connaisance. De surccroît, je viens de vous entendre, je ne peux m'empêcher de constater que non seulement vous êtes un être plein d'Amour de soi et de ses semblables, de plus vous avez l'amour du support avec lequel vous vous exprimez: la langue de Voltaire. Vous la manier avec une aisance symphonique  qui force respect et admiration à se prendre la main dans le sanctuaire de madame la perfection. En un mot je dirai, vous avez l'art et la manière de faire aimer cette langue à quiconque vous prête son oreille.Par contre je ne tarirai point d'éloges sur votre coup de gueule. Mettons-nous tout de suite d'accord, ceci étant nullement votre objectif principal.Un point de désaccord: votre coup de gueule s'adrese aux congolais.Quelle qu'en soit sa portée, votre coup de gueule fera choux blanc, elle ne pourra nullement atteindre sa cible trop générale et mal identifiée. Quels sont les déterminismes identitaires d'un congolais et pis des congolais. Ce que vous êtes n'a strictement aucun rapport, mais vraiment strictement aucun avec l'endroit où vous êtes nés, ou avec l'endroit d'où vous nous parlez. Ce que vou avez peut-être, et encore. Parce que vous êtes vous, unique et semblable à nul autre. Vous avez une vie à construire ou à vivre vous en faites ce que vous voulez. Si vos avez décidé d'être triste aujourd'hui, je peux vous amener tout l'or du monde, cela ne changera en rien ce que vous êtes fondamentalement.Les sages que nous affectionnons tant, sans se livrer à  une dialectique improductive des mots. C'est une personne qui a une connaissance juste des choses, qui n'est plus troublée par des désirs ou des angoisses, qui est parvenue à la maîtrise de soi. Pour y parvenir il y a plusieurs voie, une de plus efficace à mon avis c 'est celle de l'Amour qui nécessite l'abandon de l'attachement à... Souvenez-vous de JESUS parlant à la foule. Quelqu'un est venu lui dire, ta famille est dehors elle te cherche. Sa stupéfiante réponse, mais juste qui serait passée ou s'est peut-être même passée pour du mépris, de l'insolence: qui c'est ma famille,  si ce n'est vous. Etre noir,blanc, jaune... ne sont que des états qui prennent du sens dans l'individualité porteuse des dites apparences différentiées par la couleur de la peau ou le lieu de naissance, mais qui en réalité porte le même moteur, donc la même marque, celle de l'âme humaine. En quoi mon cher Andochanga les effets existentiels produits par l'âme d'un congolais, serait-il plus médiocres que ceux d'un prêtre pédophile américain. Sans toutefois porter atteinte à votre sincérité, et à votre envie de bien vouloir dire,vous avez peut-être mal fait le choix de généraliser, un sujet qui ne peut l'être et surtout avec un mélange inteligement orchestré, mais détonnant; celui de la morale, intelligence, sagesse et spiritualité. Tout ce qui est général se dilue bien dans la non confirmation de la singularité et donc de la responsabilité individuelle.Les congolais, ni aucun peple du reste n'a le monopole de la médiocrité qui grâce à l'intelligence de laquelle, on reconnaît ce qui est suffisant.La vie pour son équilibre n'a-t-  elle pas la dualité pour principe fondamental? Le jour va de pair avec la nuit, l'homme avec la femme, le sage avec le fou, la médiocrité avec la suffisance... Cordiales salutatons LELO                  
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