Morts précoces, morts mystérieuses,morts à la Congolaise!
Nous savons tous que l'homme est mortel.Mais la cadence à laquelle l'on meurt au sein de notre population devient alarmante.Pourquoi
meurt-on comme des mouches? Et surtout comment se fait-il que l'on meurt si précocement?
Ces interrogations surviennent après avoir scruté, pendant une période relativement longue,l'actualité nécrologique congolaise.
Qu'avons constaté? Aucune couche sociale n'est épargnée.Des morts atroces par millions durant les guerres de"libération"ou "d'occupation".Des morts précoces par milliers, par manque de soins adéquats.Des morts mystérieuses parmi les privilégiés du régime,qui auraient pu aspirer à une certaine longévité.Et finalement, des morts inexpliquées au sein de la diaspora, particulièrement parmi ceux qui ont eu le malheur d'effectuer une visite au Pays.
En effet,suite aux multiples agressions subies par le congo , les observateurs s'accordent sur le bilan:des millions de victimes, sans compter les cas de viol et d'autres atrocités.
Or, le souhait de tous après le changement du régime consécutif à toutes ces guerres, était de voir la situation socio-économique s'améliorer,en vue de permettre à la population, entre autres, d'accéder aux soins sinon préventifs, du moins curatifs.
Mais paradoxalement,la situation s'est détériorée au point où la mort est devenue banale parmi-nous.Nous sommes débordés par les deuils. Il ne se passe pas un week-end sans que l'on aille consoler un ami ou une connaissance. Si, on n'est pas soi-même éprouvé.
Au registre des décès en provenance du pays vient de s'ajouter des morts inopinées au sein même de la diaspora Congolaise.Ce qui étonne est que la plupart de ces décès surviennent après, voire durant le séjour au Pays.
Comme si cela ne suffisait pas, certains bruits,qui restent à vérifier, laissent croire que le régime de Kinshasa chercherait intensivement à éliminer certains membres de la diaspora,qui osent narguer son autorité.On dirait que les autorités actuelles seraient plus enclines à faire taire les voix discordantes qu'à améliorer le quotidien de la population.
S'agissant des morts mystérieuses parmi l'élite politique, jusqu'à preuve du contraire, celles-ci semblent relever de l'assassinat politique. Sinon, comment expliquer que les rares privilégiés du régime, qui devraient avoir accès aux soins les plus appropriés, succombent aussi facilement que le commun des mortels?
A l'allure où vont les choses, on est droit de se demander si on va encore mourir de vieillesse au Congo?
Cet état des choses contraste avec l'allongement de l'espérance de vie dû au progrès de la médecine, de l'hygiène et de la nutrition, à travers le reste du monde. comme si le congo faisait exception dans tous les domaines.
Messager
Ces interrogations surviennent après avoir scruté, pendant une période relativement longue,l'actualité nécrologique congolaise.
Qu'avons constaté? Aucune couche sociale n'est épargnée.Des morts atroces par millions durant les guerres de"libération"ou "d'occupation".Des morts précoces par milliers, par manque de soins adéquats.Des morts mystérieuses parmi les privilégiés du régime,qui auraient pu aspirer à une certaine longévité.Et finalement, des morts inexpliquées au sein de la diaspora, particulièrement parmi ceux qui ont eu le malheur d'effectuer une visite au Pays.
En effet,suite aux multiples agressions subies par le congo , les observateurs s'accordent sur le bilan:des millions de victimes, sans compter les cas de viol et d'autres atrocités.
Or, le souhait de tous après le changement du régime consécutif à toutes ces guerres, était de voir la situation socio-économique s'améliorer,en vue de permettre à la population, entre autres, d'accéder aux soins sinon préventifs, du moins curatifs.
Mais paradoxalement,la situation s'est détériorée au point où la mort est devenue banale parmi-nous.Nous sommes débordés par les deuils. Il ne se passe pas un week-end sans que l'on aille consoler un ami ou une connaissance. Si, on n'est pas soi-même éprouvé.
Au registre des décès en provenance du pays vient de s'ajouter des morts inopinées au sein même de la diaspora Congolaise.Ce qui étonne est que la plupart de ces décès surviennent après, voire durant le séjour au Pays.
Comme si cela ne suffisait pas, certains bruits,qui restent à vérifier, laissent croire que le régime de Kinshasa chercherait intensivement à éliminer certains membres de la diaspora,qui osent narguer son autorité.On dirait que les autorités actuelles seraient plus enclines à faire taire les voix discordantes qu'à améliorer le quotidien de la population.
S'agissant des morts mystérieuses parmi l'élite politique, jusqu'à preuve du contraire, celles-ci semblent relever de l'assassinat politique. Sinon, comment expliquer que les rares privilégiés du régime, qui devraient avoir accès aux soins les plus appropriés, succombent aussi facilement que le commun des mortels?
A l'allure où vont les choses, on est droit de se demander si on va encore mourir de vieillesse au Congo?
Cet état des choses contraste avec l'allongement de l'espérance de vie dû au progrès de la médecine, de l'hygiène et de la nutrition, à travers le reste du monde. comme si le congo faisait exception dans tous les domaines.
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