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Publié par Messager

MICHEL NGOUOLALI : LA PERLE BRAZZAVILLOISE DE L’ÉPOPÉE FIESTA-SUKISA.

 

De g à dr: Michel Ngoualali, De la France Bazeta, Apôtre Dionga, Armandos, et Déchaud .

L’épopée African-Fiesta-Sukisa est largement contée à travers mbokamosika par des plumes les plus affûtées entre autres, celles du doyen Ignace Mukendi et notre ami Mwenze. Mais comme toute histoire, celle-ci renferme encore des points qui n’ont pas encore été commentés sur notre site. Ça veut dire qu’en dehors de Nico, Déchaud, Zorro, De la France, Bovic, Apôtre Dionga, Mizele, Sangana, Chantal, il nous reste encore d’évoquer avec plus d’égards l’enrôlement en 1967 du flûtiste Michel Ngouolali, en provenance du Congo Brazzaville.

Avec le recul, nous estimons que l’enrôlement du jeune Michel Ngouolali en 1967 est intervenu à une époque qui peut être considérée comme étant la plus glorieuse de l’African-Fiesta Sukisa. Qui plus est, certaines sources soutiennent que c’est lui (Michel Ngouolali) qui aurait stimulé Dr Nico à créer la célèbre danse « Kiri-Kiri » mabina ya sika, dont les premières esquisses auraient vu le jour à Brazzaville.

 

Durant sa présence dans l’African-Fiesta Sukisa, Michel Ngouolali a composé deux œuvres : « Capacité ya bolingo », dédiée à Munga Francisca, et « KANTSHITA », plébiscitée meilleure chanson de l’année 1968.

Pour mieux l’immortaliser, nous avons retravaillé l’unique photo d’ensemble de la l’African-Fiesta Sukisa sur laquelle il figure, de manière à le rendre plus visible.

Notons enfin que Michel Ngouolali fit partie des dissidents qui ont formé l'African-Soul en 1969, avant la disparition de Chantal Kazadi à Luluabourg (Kananga).

 

Messager

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