Mille et une raisons de garder de la bonne humeur sur mbokamosika !
Mille et une raisons de garder de la bonne humeur sur mbokamosika !
En prévision du 10ème anniversaire de notre site, nous avons annoncé la programmation hebdomadaire de chansons d’anthologie de la musique congolaise . Cette mesure qui ferme la parenthèse politique a été saluée par Mazemba Zwanga et le doyen Ignace Mukendi Zwanga , lesquels ont promis d’y contribuer activement.
Selon le doyen Ignace Mukendi, « cette trêve a privé les mbokatiers de leur journal culturel en ligne ». Un préjudice que nous essayerons de réparer d’ici la célébration du 10ème anniversaire. C’est pourquoi, nous nous excusons auprès de tous les mbokatiers qui ont à juste titre, craint de voir leur site préféré s’empêtrer dans les démêlées politiciennes, au détriment de la poursuite du travail de mémoire.
À cet égard, nous invitons tous nos amis : chroniqueurs, archivistes, « recherchistes »….à reprendre leurs activités. Nous pensons particulièrement à Pouko en RCA à qui nous réciproquons les vœux de bonne années, Blondé en Côte d’Ivoire, Pedro en Namibie, Lused Nsingi Mabuassa, Ndombasi Kupessa Ngombo et papa Kinalo en Angola, Simba Ndaye et notre ami commun, Amaya Mokihini au Gabon, Samuel Malonga, Claude Kangudie, Claude, Augustin Odimba, Lend Nyanguila, Mwenze, le doyen Clément Ossinondé, Ngimbi Kalumvueziko, Kat Nawej, Elikya, José Mvuemba, Stefan Messely et le Dr Bruno Dubois de Foot100.be, Armand Kabongo, Yandundu, Jean-Paul Kitenge, Zok, sans oublier les grands donateurs du site, à savoir Jacob Lusala et Frederic Metesse. Nous n’oublierons jamais ceux qui nous suivent désormais en silence : Emmanuel Kandolo, Kiku, Papa Toto,Zéphyrin Kirika, Don Munsiensi, Ya Moti, Adeitoko, Aimé Atipo, Maurice Yala, Sony Mokonzi, Serge Mieko, etc, etc.
Pourquoi voudrions-nous garder de la bonne humeur sur le site ?
Chers amis mbokatiers, en plus de ce que nous avions déjà écrit sur le bienfait de la fonction psychologique de notre site sur ses lecteurs, nous voudrions ajouter aujourd’hui que la vie passe très vite. Tout en étant les rescapés d’une génération sacrifiée politiquement, nous avons néanmoins été gâtés culturellement, en vivant l’âge d’or de la musique congolaise. Une époque mémorable qui semble révolue.
La précarité et la baisse sensible de l’espérance de vie en Afrique font que les témoins de cette époque se font de plus en plus rares, raison pour laquelle nous devrions les encourager à s’impliquer dans le travail de mémoire sur mbokamosika, dans une ambiance conviviale et de détente, agrémentée par les chansons d’anthologie de la musique congolaise.
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